Image : Profil - Pseudo : ichi Profil - Avatar : Bang Chan Profil - Oeuvre d'origine : My hero academia Profil - Messages : 140 Profil - Date d'arrivée : 13/12/2022 Profil - Crédits : chandelyer Profil - Autres comptes : Eren & Itadori Profil - Zone libre :
You just reap
what you sow
you gonna burn, we'll burn
Apo - Âge : 24 ans. Apo - Situation amoureuse : None. Apo - Ancien métier : Pro en MMA. Apo - Communauté : Aucune. Apo - Nouvelle fonction : Survivant. Apo - Inventaire : Ses poings et du barbelés. City - Âge : 24 ans. City - Situation amoureuse : Dare to ask it. City - Métier : None. City - Quartier : Summerdale. Surnat - Âge : 24 ans. Surnat - Situation amoureuse : Célibataire. Surnat - Quartier : Blackridge. Surnat - Type : Humain à alter. Surnat - Particularités/pouvoirs : Son alter lui permet de générer instantanément des flammes incandescentes bleus. Il les expulse à volonté de n’importe qu’elle partie du corps avec un minimum d’effort. Ses flammes sont extrêmement chaudes bien plus que les flammes classiques. Son feu est assez chaud pour réduire tout un groupe de personne en cendre en quelques secondes. Il peut aussi brûler tout ce qu’il touche y compris les matériaux durs comme le bois, la roche ou le ciment.
Il utilise ses flammes en créant des boules de feus, des tirs de lance-flammes et des éclats de feu. Il arrive également à générer suffisamment de flammes pour former un bouclier massif de feu.
Cependant, ayant hérité des gènes de la glace, son corps n’est pas en capacité à résister suffisamment à ses flammes et s’il les utilise trop, il s’embrase lui-même.
Toya a volontairement appris et copier les techniques de son père, Endeavor.
Brilliant scorching fist : jet burn • Toya déchaîne une puissante explosion de feu sur son ennemi. Bien que contrairement à Enji, il tire son feu plutôt que de frapper son adversaire.
Flashfire fist • Il augmente la chaleur de ses flammes jusqu’à leur paroxysme et les comprime pour augmenter leur puissance.
Hell Spider • Des rayons de flammes partent de ses dix doigts bien que plus gros que son père et frappe l’ennemi.
Prominence Burn • Cette attaque permet à Toya de lancer un faisceau de feu massif et concentré depuis tout son corps, capable de vaporiser sa cible.
« And if the birds are just all the words flying along, singing a song, what would they do ? If they just knew what they could do. »
Un rire aux éclats, un rire grossier et à la limite du psychotique qui résonne dans le hangar. C’était comme si un enfant riait d’excitation avec son nouveau jouet en main. Assis sur une rambarde d’escalier, ses jambes se balançaient en avant et en arrière. Sur ses genoux se trouvaient les plans d’un magasin, avec indiqué dessus, l’emplacement clé de chaque caméra, chaque rayons, chaque détails. Mais ce n’était pas un enfant. Loin de l’enfant qu’il a pu être d’ailleurs, l’image du gentil garçon voulant impressionné papa avait laissé place aux psychotiques voulant lui montrer toute la crasse qu’il a accumulé en le délaissant toute sa vie. Un amas de symptômes de l’abandon, de l’excès d’émotion et de colère, qui ne pouvait que créer la bombe à retardement prête à exploser à n’importe quel moment. Et rien de plus dangereux que l’ancien militaire que lui à la tête d’un groupe de malfrat qui n’a que soif de violence et d’argent. Toya lui se fichait de l’argent ou de la gloire, lui il voulait autre chose. il voulait faire de la vie de son père et de sa famille un enfer, il voulait qu’il ne puisse même plus sortir de chez lui sans avoir la peur aux tripes, lui et le reste de cette famille. Et le japonais savait dirigé, monter des plans et des stratégies. Après tout, il avait été si bon élève ! Dommage que papa n’a rien voulu voir ! Dommage qu’il a piétiné de son indifférence les efforts monstrueux de sa déception de fils ! Si seulement, il aurait pu être si fier, si fier de son ainé prêt à tout pour lui plaire. Dommage, il a échoué.
Et il jubile, Toya. Il jubile parce qu’il va pouvoir enfin lui montrer les résultats de tous ses efforts ! Il va enfin pouvoir gouter à ce qu’il prépare pour lui. Et ce n’était qu’à peine le début. Son fils qui est parti est enfin de retour, ce fils qu’il n’a peut être même pas fait l’effort de rechercher à sa disparition, qui sait, peut être qu’il l’a fait. Toya s’en fiche. Les excuses de ce dernier, les raisons, les justifications n’avaient strictement aucune valeur à ses yeux. Le passé ne s’efface jamais.
Oui, il jubile aujourd’hui. Lui qui reste pourtant si stoïque à la limite du je m’en foutiste, était aujourd’hui totalement enjoué, guilleret. Et il finit par sauter de son perchoir, pour replier grossièrement la carte et la refiler à un de ses hommes. Les mains enfoncés dans les poches de sa veste en cuir, il sautille presque jusque la table où ils ont l’habitude de se réunir, tapant un grand coup dessus de la paume de sa main, invitant ainsi tout ce joli monde à le rejoindre. Faisant ainsi un petit récapitulatif de l’opération avant de passer enfin à l’action ! Il avait si hâte.
Choisissant le jour où il y aura forcément le plus de cash, surveillant l’activité du magasin depuis des mois, ils connaissaient les horaires et les jours exactes du camion de la banque. Il savait qui s’en occupait, comment ils les paquetaient, tout. L’heure choisie correspondaient au moment où le cash était flottant, attendant d’être transféré, donc le plus facile d’accès. Et une fois tout accordé, il était l’heure, enfin.
Equipé d’une cagoule, de son casque de moto, de ses gants et évidemment de son SIG Sauer P320. Arme qu’il chérie énormément, comme une extension de son bras, une créatrice de mort pourtant. Elle était entièrement noir mais le manche en titane était gravé, personnalisé uniquement pour Toya. hell’s dancer un nom bien particulier, si parlant quand on connait l’animal. Les motards partirent donc en faisant grogner leur moteur. Ils se garèrent tous à des emplacement très spécifique et stratégique. Tout était millimétré et chronométré.
Ses hommes étaient chargé de la caisse, lui de la réserve, mais il avait d’abord un truc bien spécifique à faire avant.
Très vite la panique prend les lieux, à la minute où ils sont rentrer, forçant les clients à sortir, il dût même tirer une nana par les cheveux pour la jeter dehors, fermant ensuite derrière eux. Ils ne prenaient pas d’otage, à part les employés. Trop de bruit autrement, trop d’emmerde. Les cameras sont détruites pour la plupart aux furs et à mesure.
Toya lui, quitte son poste actuelle pour rejoindre son objectif premier. Sautillant toujours alors que ses rangers rencontrent le sol avec fracas, ses bras accompagnent sa danse psychotique, allant faire tomber les produits sur le sol à sa suite, chantonnant doucement comme le ferait un gosse. Sauf que ce gosse était armé et dangereux. Et il finit par le trouver caché entre deux allées de rayon. Le criminel penche la tête sur le coté et se marre à nouveau. Sachant que trop bien la disposition des caméras, il sait qu’il en a une derrière eux. Alors il sort son arme, retirant sécurité et l’activant, il tira pile dans le mille pour ensuite se retourner vers personne d’autre que son paternel. Le pauvre, regardez le, il lui fait presque de la peine, s’il pouvait encore la ressentir. Il s’avance alors à pas dangereux, sachant très bien que l’autre ignorait encore son identité. Et il s’accroupit pour être à son niveau. « Regardez moi qui se chie dessus… Pathétique, non? Pour un ancien militaire si haut gradé…» qu’il souffle alors qu’il lui relève le menton à l’aide du canon de son pistolet. « Peut être que je peux te redonner un peu du poile de la bête… » qu’il rajoute ensuite en ricanant toujours autant.
Puis il stoppe enfin le mystère retirant le tissus l’empêchant de voir son visage, son regard perçant pu enfin le fixer affichant enfin son sourire maniaque sous son nez. « Hein, papa ? » un seul mot prononcé avec toute la haine et la folie qui le possédait.
(c) DΛNDELION
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(have a peak of the hell I prepared for you) ft Enji.