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Sa voix est douce, éraillée, elle ne monte jamais de façon brusque et reste toujours à un niveau tempéré. Sa colère est silencieuse, elle tambourine dans ses tempes et empoissonne ses muscles qui se gainent mais jamais elle ne déborde. Cependant il ne faut pas si méprendre car sa sentence est implacable et dictée par une sourde rationalité teintée d’une vengeance inaltérable. Avant la mort de sa famille, Zemo n’a jamais été un homme d’idéaux, trop rationnel pour ne pas être capable de changer d’avis. Ses convictions sont éclairées et repose sur une vision du monde qu’il a lui-même construit sur ses expériences passées. Depuis 7 ans, la seule idéologie qu’il suit aveuglement est celle d’un monde qui doit être libéré de l’emprise des super-soldats et des groupes de héros qui pullulent et sèment chaos et destruction. Helmut Zemo a un certain sens de l’humour caustique et une grande éloquence quand il s’agit de s’exprimer sur ses expériences militaires ou ses plans futurs. Il est capable de se fondre dans la foule et de devenir invisible, oubliable parmi ceux qui l’entourent. Il dissimule son manque d’aisance relationnel sous de nombreux masques opportuns. Méfiez-vous, Zemo peut être sympathique au premier abord quand votre existence ne rentre pas en désaccord avec ses plans. Mais il est la définition de la fin justifie les moyens. Ici. Ici. Ici. Est-il dans une communauté ou solitaire ? Ici. Réalité apocalyptique Si réalité principale : Sous la forme que vous souhaitez, résumez-nous son passé, son histoire, comment il est arrivé à Silvergate et ce qu'il fait maintenant. Le format est libre.Si adaptation : Résumez-nous sous la forme que vous souhaitez comment est sa vie dans cette réalité. Merci de vous référez aux différentes annexes. S'il en fait partie d'une, son rôle... Réalité city Si réalité principale : Sous la forme que vous souhaitez, résumez-nous son passé et son histoire. Le format est libre.Si vous choisissez un déménagement : comment il est arrivé à Silvergate et ce qu'il fait maintenant. Si Silvergate remplace la ville d'origine : ce qu'il y fait etc. Si adaptation : Résumez-nous sous la forme que vous souhaitez comment est sa vie dans cette réalité. Merci de vous référez aux différentes annexes. Ici. Ici. Ici. Ici. Ici. Ici. Réalité historique Si réalité principale : Sous la forme que vous souhaitez, résumez-nous son passé, son histoire, comment il est arrivé à Silvergate et ce qu'il fait maintenant. Le format est libre.Si adaptation : Résumez-nous sous la forme que vous souhaitez comment est sa vie dans cette réalité. Merci de vous référez aux différentes annexes. 45 ans Veuf Lostsea Humain. Le baron ne manque pas d’expérience ou de persévérance. Génie militaire, Zemo sait que la clé du succès d’une opération peut souvent se baser sur les plus simples mécanismes, pour peu qu’on y mette un peu d’effort et de sacrifice. Son talent dans l’art de jouer sur les failles ennemies repose essentiellement sur sa capacité à appréhender rapidement les besoins des soldats, des héros, des gouvernements ou des civils et à leur apporter des réponses idéales à leurs attentes. Connaître ces besoins ; ce fut évidemment son travail dans les services d’information sokovien, expert du décryptage des informations classées top secrètes et commandant de missions d’espionnage dans les rangs opposés. Officier dans un pays en proie à la guerre civil, et sous la menace de nombreux pays voulant s’octroyer richesses et territoire du pays mourant, Zemo est habitué aux situations extrêmes. C’est un homme de terrain qui n’a pas eu le loisir ou la volonté de dicter la marche de ses troupes à distance. Fraichement arrivé, il n'a pas encore de métier à proprement parlé. Mais Zemo tisse un réseau d'interconnaissance dans tous les milieux, dont criminel. Réalité surnaturelle Si réalité principale :Son enfance avait été faite de nombreuses réunions fastueuses. A Riga, la lumière traversait les vitres à la teinte mordorée de la salle de réception qui s’effeuillait au fur et à mesure de l’avancée des convives et dévoilaient un peu plus de ses fresques murales à chaque pilier dépassé. Zemo dirait aujourd’hui de l’architecture de l’endroit, qu’elle était le vestige d’un pur produit de l’art nouveau qui signait le renouveau de l’art créatif au sein de l’Europe au XXème siècle. Un lieu évident pour le rassemblement de la noblesse Letonienne et de leurs amis d’Europe de l’Est. L’enfant qu’il était à l’époque n’avait pas conscience de la portée symbolique et politique de sa présence, il n’était qu’émerveillement et enchantement, guindé et potelé dans un costume aux embellissements brodés en fil de soie.Avec leurs visas monnayés à prix d’or, ils pouvaient se rendre à tout rassemblement profitable pour leur famille dans tous les États démocratiques et populaires de l’Europe, aussi appelé bloc de l’Est par leurs voisins de l’Ouest. Ses parents le couvaient du coin de l’œil alors qu’ils faisaient affaires, chacun dans son cercle d’influence et à voix basse. Helmut se fondait dans le décor, planté devant les plus belles toiles comme faisant partie du paysage ou se gorgeant de la beauté des livres des bibliothèques en débordant. Et, entre deux ouvrages massifs, il découvrait parfois un roman interdit, introuvable et qu’il tentait de décrypter en ânonnant du bout des lèvres. Sa famille avait abandonné les terres familiales pour rejoindre la capitale de Novi Grad un siècle auparavant, s’urbanisant en faisant d’une habitation au centre de la ville leur résidence principale. Les premières années de sa vie Helmut vivaient dans cette vaste bâtisse avec ses parents, ses grand-parents et sa tante. Il évitait sa grand-mère qui, dans son châle l’entourant d’un voile fantomatique, errait dans les couloirs en pestant sur la décadence de la nation, les ennemis de classe et les contre-révolutionnaires qui se cachaient partout. Horrifiée par la nouvelle vague musicale punk qui avait touché le pays comme un raz-de-marais elle interdisait toute radio et hurlait son hystérie dès qu’un employé en oubliait une dans ses quartiers. Si souvent que l’intentionnalité des oubliés n'était plus à démontrer. A l’heure de l’ouverture de la Sokovie et de l’instabilité politique, le baron Zemo et la baronne Zemo quittaient leur appartement familial pour s’établir à l’extérieur de la ville. Le majordome Oznik les suivirent dans l'arrière pays. Heinrich Zemo ancien militaire avaient beaucoup d’amis à la capitale et dans la royauté, il observait l’influence d’Hydra sur les masses et les groupes néo-nazis qui fleurissaient dans la cour des lords, il ne pouvait que s’inquiéter de l’état de sa nation. Hilde Zemo n’était pas innocente, fille de criminel et entretenant toujours des liens étroits avec la mafia, c’était pourtant, avec son mari, un pilier de la lutte Sokovienne contre toute forme de suprématie. Bien éduquée et d’une bonne éloquence, elle était une femme prisé pour ses mots mesurés et acéré. Peu de temps après leur départ, la baronne disparaissait, et son mari, qui avait hérité de ses titres de noblesse, prenait ses distances avec la pègre et ne maintenait que des contacts tenus maintenant une alliance qu’il serait bien malheureux de perdre au risque d’en faire don à des ennemis qui s’en servirait avec plus d’intérêts féroces. Le jeune héritier de cet empire évoluait confortablement mais sans attrait dans les mondanités aux nombreux langages qu’il apprenait assidûment. Helmut intégra l’école militaire d'état-major de Novi Grad sans en finir son cursus, mobilisé comme officier des forces armées Sokovienne dans une guerre intestine grondante, toujours plus avide de chair. Il s’y démarqua, officier capable, il alla jusqu’à prendre en charge un bataillon puis une brigade dans une armée déchirée et désunie. Il rencontra sa future campagne au portail de l'institut du Génie Civil et des Sciences Appliquées de Novi Grad qui se situait non loin de sa caserne. C'était une femme à l'intelligence acérée, ambitieuse et à la moquerie facile, cultivée mais rapidement désabusé des odes à la beauté de l'art. C'était avec une étrange sincérité qu'ils discutaient, se confiaient et se disputaient. Chaque permission, chaque instant était savouré. En tant que colonel, il officia dans la région de la capitale, centre névralgique des gouvernements vacillants avant de rejoindre le service des renseignements sokoviens pour mieux frapper les entités opposantes en les décryptant et en utilisant des méthodes plus insidieuses pour les démanteler de l'intérieur. C'est dans ce but qu'Helmut Zemo fut l'initiateur du projet EKO Scorpion ; formant et commandant une escouade sans identité officielle. Il ne rentra pas pour la naissance de son fils, mais regarda son visage pixelisé sur l'écran de son cellulaire des nuits durant. Le colonel Zemo était un militaire efficace et un père intermittent. Absent mais très disponible une fois les sacs abandonnés dans l'entrée de l'appartement chatoyant. Les stratégies parentales se faisaient plus souvent au bout du combiné, négociant chacun pour avoir le dernier mot pour déterminer les permissions et sanctions, les cadeaux et les surprises. Carl était un enfant qui vivait confortablement avec ses parents et qui voyait fréquemment son grand-père dans l'arrière pays, les yeux émerveillés devant les pâturages et le bétail de son papy, Sa chambre était aux couleurs de ses passions, il aimait Iron Man, rêvait du nouveau Halo et souhaitait voir l'Amérique. A 7 ans on ne pouvait pas vraiment parler de goût éclairait mais plus d'un engouement généralisé alimenté par les médias. De retour d'une campagne, le colonel revenant de bataille posait ses valises dans l'entrée de l'antre familiale, le précieux cadeau de son fils empaqueté secrètement dans un des bagages. Pour l'anniversaire du dernier héritier de la famille, le Baron Zemo était venu rendre visite à son petit-fils. Quand l'annonce d'une attaque sur Novi Grad se diffusa, Carl, sa mère et son grand-père se mirent en route vers l'arrière pays. Zemo entendait par le combiné son fils hurler d'une joie démesuré "C'est Iron Man, c'est Iron Man" alors qu'il entendait la voix bourru de son père lui dire de se rasseoir avec un accent Sokovien très prononcé. Sa femme était au volant et le grand-père veillait sur le petit sur la plage arrière. Les deux époux échangèrent des mots de réconfort et d'encouragement et le colonel raccrocha. Son corps était balloté de droite à gauche alors qu'il regardait ses hommes face à lui, tous silencieux et le visage de marbre tandis que la jeep se dirigeait vers l'épicentre de la bataille à Novi Grad. Leurs armes faisaient un bruit d'entre-choquement quand elles rencontraient les lanières de leurs gilets. Quand le véhicule s'arrêta brutalement, le chef d'escouade se releva pour en connaître la raison et ce qu'il vit le laissa muet. Pas seulement lui, mais tous semblaient soudain muet, le souffle vide et le menton relevé. La terre hurlait en se déchirant alors que la partie sud de la capitale s'élevait du ciel. Les gravats... Les gens... formaient des points noirs sur le bleu immaculé du ciel sans nuage avant de filer vers le sol à toutes vitesses. Quand la cité explosa, les militaires qui géraient les afflux d'exilés et de rescapés, qui avaient parfois sauté plusieurs mètres pour se sauver de la ville, furent balayés par l'explosion. Les routes se fendirent et le sol s'ouvrit sous les impacts de milliers de roches retombant sur toute la région. La fumée s'éleva si haute que l'endroit n'était plus qu'une vaste brume et elle ne se dissipa que plusieurs heures plus tard. Le colonel n'avait plus d'homme, n'avait plus de repère, quand il se releva, il était seul au milieu des gravats. Son téléphone ne lui laissait qu'entendre la tonalité de la ligne qu'il essayait d'atteindre. Et deux jour plus tard, il retrouva cette ligne. Coupée. Les corps enchevêtrés mais désarticulés. Il n'y avait pas de mot pour décrire l'horreur. Et les Avengers, eux, ils étaient rentrés chez eux. Le protocole aurait voulu qu’avant de se retirer, le colonel se rende à l’hôpital d’instruction des armées pour passer une série d’évaluation physique et psychiatrique. Mais les lieux n’étaient que décombre, une partie du personnel avait été rapatriée vers les hôpitaux à proximité de la capitale qui accueillaient les plus lourds blessés tandis que les autres s’occupaient des populations encore sur place. Alors ils se quittèrent sur une poignée de main cordiale, les rares effets personnels de Zemo étaient rangés dans un sac, accroché à son épaule. C’était un pays en ruine que le colonel quittait, avec peu de ressources, les banques étaient paralysées, le pays en faillite et récupérer de la liquidité était impossible. Mais ce n’était pas un obstacle pour Helmut Zemo, car il avançait mais il était déjà mort. Il ne vivait que pour un objectif, une cause très personnelle ; une vengeance ardente et dévorante. L’ancien colonel savait faire ployer les groupes, pousser les identités et les individualités à se déchirer en manipulant leurs envies, leurs désirs, leurs affections. Pour éliminer les Avengers, Zemo avait repris les anciens dossiers que Natasha Romanov avait divulgués aux publics. C’étaient de précieuses informations qu’il avait déjà un peu exploité auparavant, mais qui aujourd’hui était sa première arme. Ca, et le carnet qu’il récupéra grâce aux décryptages de ces données. Une année de travail qui paya quand il passa ses doigts sur la couverture élimée et gondolée d’humidité, décoré d’une étoile d’argent aux pointes à l’allure tranchante. L’outil de sa revanche. Juste une date. Le 16 Décembre 1991. Pour diviser les troupes, il était évident que James Bucky Barnes était le déliant parfait, révoltant et indignant par le chemin de l’horreur qu’il avait longtemps emprunté. Le retrouver ? Comment ? Zemo ne pouvait prétendre pouvoir trouver un homme qui se fondait dans un monde qui ne le prenait que pour une légende. L’ex-colonel n’y arriverait pas. C’est pour cela qu’il fit de James Barnes l’ennemi numéro un du monde occidental en lançant un attentat sur les nations unis. Le bilan humain ne fut pas lourd, ce n’était pas le but, un seul mort. Mais l’effet fut immédiat et le soldat de l’hiver fut capturé. Ce fut finalement plutôt simple de se faire passer pour le psychiatre chargé d’évaluer Barnes pour le compte des nations unis. Son accent français était bien modelé, presque parfait. Dans la pièce sombre, enfermé entre quatre murs d’acier face à une arme qui avait oublié sa fonction, Zemo parlait d’une voix douce mais ferme. Interrogeant l’homme aux yeux hagards alors que son regard glissait vers l’écran de son téléphone pour vérifier la suite de son plan. Quand la bombe IEM explosa au site d’acheminement, au centre d’un poste électrique, les lumières moururent et le groupe électrogène fit un bruit métallique en reprenant le contrôle. Ses yeux étaient rougeoyants alors qu’il sortait le carnet plus écarlate encore de ses documents. Ce qu’il lut dans le regard qui lui faisait face c’était la confirmation de ses plans, dans ce désespoir il voyait la suite de sa conspiration se profiler. Son sang battait à ses tempes alors qu’il lisait les mots scrupuleusement appris, le code pour activer le soldat qui se jetait sur les parois glacées pour ne pas tomber dans la servitude de sa condition. Les mots sortaient de ses lèvres sans faillirent et ne quittait pas l’écriture abimée par le temps qui parsemait les pages de l’ouvrage. Dans une dernière syllabe échappée par le baron, le poing du tueur s’abattit sur la porte, la faisant exploser sous son impulsion. Il pencha la tête de côté, intrigué de savoir s' il allait dire son dernier mot où s'approcher de son objectif. "солдат ?" Assuré de sa servitude, seule une chose lui importait. "отчет о миссии : 16 декабря 1991" Si près du but, ses yeux dévoraient chaque expression de James Barnes pour analyser chaque phrase et chaque nouvelle information. Quand le héros de l'Amérique vint en soutien à Barnes, c'est le soldat de l'hiver qu'il rencontra. Impitoyable comme à son habitude et Zemo en profita pour partir vers son nouvel objectif, le lieu où Hydra gardait ses super-super soldats en cryostage, dans un coin de la Sibérie. Il prit plusieurs heures à dégager la glace du panneau de contrôle pour entrer dans le Bunker, mais dans son esprit il ne ressentait pas le froid, ni la fatigue, ni l'impatience, il n'y avait qu'une froide et vide détermination qui occupait tout son esprit. Les Avengers arriveraient bientôt pour découvrir grâce aux images d'archives contenues dans ce Bunker qui était réellement le James Barnes que le sauveur de l'Amérique protégeait. Choisissant de se taire face à son co-leader qui avait perdu sans le savoir ses parents de la main du soldat implacable le 16 Décembre 1991. En arrivant dans le Bunker, il fit le tour des prisons de verre des tueurs d'Hydra et méthodiquement les abattit d'une balle dans la tête. Ils étaient tout ce qu'il exécrait, et il ne pouvait les autoriser à exister. Quand Captain América et Iron Man pénétrèrent les lieux, ils étaient accompagnés de James Barnes. Encore mieux. A travers une vitre de la salle de commandement, Zemo voulait voir les yeux du sauveur de l'Amérique. Il voulait les sonder, le défier de lui dire que tout était parfait. Sous contrôle. La révélation de la réelle raison de l'accident tragique des Stark ne manqua pas de briser l'équipe déjà en tension des Avengers, s'entretuant comme des désespérés alors que le baron partait d'un pas lent vers l'extérieur. Il ne prit pas la peine d'assister à la suite de la bataille, soudain pris d'une profonde lassitude. Assis dans l'herbe et scrutant la mer Sybérienne, il faisait le point sur ce qu'il avait perdu ce jour-là, pour la première fois sans le voile du devoir à accomplir. Et dans son cœur il ne ressentait rien d'accomplit à part le froid et le vide, juste la solitude d'un homme sans famille ou foyer. Pourtant Zemo ne regrettait rien, il n'aurait pas pu partir sans avoir fait le nécessaire pour éradiquer les Avengers, car c'était son devoir, c'était sa promesse et c'était un juste châtiment. Le crosse de son pistolet reposait dans sa main, mais il n'arrivait pas faire le geste qu'il attendait comme une libération, dans sa gorge se bousculait les évènements, ce dernier jour, ses souvenirs qui le retenaient sur terre, impossible de les laisser mourir en silence. Black Panther arriva à ses côtés, c'était un fils qui avait perdu son père dans l'explosion nécessaire aux plans de Zemo, et qui écouta ses souvenirs amer, ses confessions pleines de rancœur. Une fois dites, il aurait souhaité que le vent les emporte et qu'il puisse en finir, apaiser, mais la vengeance était juste dans les deux camps. Le baron avait volé un père à l'homme à ses côtés, alors celui-ci lui vola la possibilité d'être apaiser et de se retirer, enfin. Emprisonné, il était un terroriste de plus entre les remparts carcéraux d'une prison de haute sécurité en Allemagne, voué à finir ses jours sous le mépris des vaillants protecteur de l'ordre et dans l'isolement le plus complet. Ses murs étaient capitonnés, les meubles étaient vissés aux murs, aucunes accroches pour y nouer ses draps ou ses vêtements, ses couverts étaient faits de carton et même son savon lui était délivré en petite quantité chaque jour de façon à ne pas pouvoir l'ingérer ou le tailler. Si impitoyable, ils ne lui donnaient aucune chance. Les sorties qu'on lui octroyait était 3 fois par semaine, seul et accompagné d'un surveillant. Un tel acharnement était flatteur, comment le voyait-on ? Comme un homme à punir ou comme un génie du crime ? Difficile à dire. Au bout de quelques mois, la solitude altérait sa façon d'être. Loin d'être d'une nature expansive, il retomba rapidement dans un relativisme extrême qui le rendait imperméable à toute remarque ou désappointement. Lui qui avait abandonné à son adolescence la lecture des grands classiques pour se concentrer sur les ouvrages militaires et d'application en ingénierie armée devait maintenant se rabattre sur ce qu'on le laissait emprunter à la bibliothèque. Des ouvrages de littérature classique, des traités de droits, de physique ou exceptionnellement des ouvrages de stratégie militaire mais toujours en langue étrangère et au moins datés de plusieurs siècles. Désespéré d'avoir de la compagnie, il dialoguait intérieurement avec lui-même, souvent sur des questions très conceptuelles voir philosophiques, les applications concrètes étant bien trop frustrantes enfermé dans cette prison pour plusieurs éternités. Sans le remarquer, il reprenait de vieux tics perdus à son entrée à l'armée, tournant sa tête de côté, presque compulsivement pour ponctuer ses pensées ou ses paroles, exagérant ses mouvements dans une langueur aristocratique et presque théâtrale. Parfois en voyant son reflet dans le plexiglass, on pouvait presque imaginer une vraie interaction. Sept ans fut la période où il resta enfermé, n'ayant pas eu la chance d'être l'un des élus réduit en poussière par Thanos. Il apprit le Russe pendant ce temps, se prenant d'une fascination presque malade pour Hydra, dans l'idée de mettre l'organisation à genoux en même temps qu'il éliminerait les derniers super soldats restants. Appelons cela la dernière justification de son cœur toujours battant. Et un jour, il eu de la visite. Il vit devant lui un fantôme, d'un temps révolu, bien avant que la moitié de l'univers ne disparaisse et finisse sauver par des héros qui savaient se battre quand ils avaient eux-mêmes perdus. James Buchanan Barnes, qui n'avait pas beaucoup changé depuis leur dernière rencontre. Il s'était juste mis dans un costume plus passe partout, pour oublier qu'il était, par sa nature, une créature vouée à la faute. Les mots qui activaient le soldat ne marchaient plus, ils n'allumaient plus qu'une faible lumière vacillante au fond de ses pupilles. En s'humectant les lèvres, Zemo savoura la présence dans sa cellule, celle d'un être humain, parlant, pensant, peut-être pas le plus expansif mais lui reflétant d'autres émotions que les siennes. Il ressentit également la rancœur qu'il avait contre James. Pas une rancœur contre ce que James était, ou même ce qu'il avait fait, mais juste de le voir libre, devant lui. "On vous a aussi enfermé, mais vous, vous étiez... endormi la plupart du temps." C'était amer, peut-être injuste. Mais le Baron voyait les minutes s'écouler et ne rêvait que du sommeil, celui où il ne songerait pas à ce qu'il avait perdu dès ses paupières fermées. Sa colère retombe assez vite alors que son invité rétorquait qu'il n'avait pas échappé pour autant à la douleur. Pas par empathie, plus par une apathie généralisée qui le rendait bien objectif. Il n'avait rien contre James Barnes, ce n'était plus le pire représentant de son espèce et il regrettait même qu'Hydra en est fait une arme inconsciente et inarrêtable. Après s'être excusé avec sincérité d'avoir utilisé le soldat à ses fins, il se retourna, la discussion était finie pour lui. Zemo était déjà prêt à retourner au silence de sa cellule, y préférant cela à la confrontation avec son passé. Mais Barnes n'était pas du genre à venir sans raison, et quand l'ancien colonel appris que le sérum avait été recréé avec l'aide d'Hydra, c'était comme un feu qui s'était éteint qui se ralluma en lui. Un besoin viscéral d'agir. Il y voyait la chance de sortir pour finir son travail, car il savait à quel point le soldat était désespéré. Heureusement, ils étaient sur la même longueur d'onde. Et Sam Wilson, qui accompagnait partout l'ancien meurtrier sans conscience, fut bien obligé d'accepter. Leur stupeur face à sa richesse laissa Zemo circonspect, assez fasciné par la propension de ces nouveaux alliés à ne pas se renseigner sur leurs ennemis. Peut-être avaient-ils décidé de laisser son existence enterrée sous le tapis. On ne pouvait leur en vouloir, son nom n'était guère plus que connu dans le milieu de la pègre où sa famille avait de nombreuses connexions. Pour les peuples du monde occidentale, les nobles d'un pays en ruine comme la Sokovie n'étaient plus qu'un vague souvenir. D'ailleurs c'est chez ces connaissances inestimables qu'ils commencèrent pour trouver le Serum. Et à l'avenir, le Baron était bien décidé à remonter vers les nouveaux super soldats que ce Serum avait engendré pour les éliminer. Helmut Zemo avait gardé tout son savoir faire pour discuter avec les criminels et déviants, qui n'avaient rien contre du maniérisme exagéré, cabotinant bien plus que sa personne en se pavanant dans leurs belles tenues et aux côtés de leurs laquais armés. Il n'avait rien perdu de son maniement des armes ou de sa foulée pour se sortir des situations compliquées. Cependant, une fois les informations trouvées et de retour dans un de ses anciens appartement familiale à Riga, c'était comme si il avait oublié comment être normal, alors même qu'il était à la base un expert pour passer inaperçu dans les foules. Le Baron s'accrochait à son rôle et à son nouveau costume qui lui donnait une deuxième identité, plus spectaculaire et efficace. L'ancien quartier si chatoyant de la capitale lettonienne était maintenant en Ruine, le vestige d’un pur produit de l’art nouveau qui signait le renouveau de l’art créatif au sein de l’Europe au XXème siècle et qui était à présent abimé par la pauvreté et l'impuissance des organismes extra-nationaux à aider le petit pays à accueillir les réfugiés. Au côté de James Barnes et Sam Wilson, qui n'étaient pas la pire des compagnie, il fit la rencontre dans son périple de John Walker, le nouveau captain America dans tout ce qu'il y avait du plus révoltant. Un homme immature, traumatisé par la guerre et en quête d'une reconnaissance qu'il ne savait obtenir que par la violence. Une bombe à retardement. Ils se retrouvèrent face à une divergence d'opinion, Sam Wilson souhaitait discuter avec Karli, la chef du groupe de super-soldat qui se revendiquait d'un mouvement de libération, John Walker voulait tuer son groupe et la ramener devant les nations-unis avec le serum et Helmut Zemo souhaitait la tuer, éliminer ses alliés et détruire tout reste du serum qu'elle transportait avec elle. Il était dur de dire ce que James Barnes souhaitait, surement tirailler mais se rangeant (par loyauté peut-être) du côté du Faucon. Plus le temps passait, et plus il appréciait ce surhomme malgré toute l'infamie de sa nature mais cette drôle d'entente aurait une fin car il avait vu son nom marqué dans le carnet que gardait précieusement le soldat de l'hiver. Et Zemo savait comment tout finirait. Le Baron saisi sa chance d'éliminer Karlie quand il fut menotté sur le lieu de dialogue avec elle choisi par Wilson. Seul, il se libéra de ses liens après les avoir analysé quelques secondes et quand il vit Karli, il tira. Dans sa tête tambourinait un besoin urgent de la voir à terre, le sang bouillonnait dans ses veines mais lui restait de glace, tirant méthodiquement vers la jeune adulte, sans hésitation, la touchant dans le ventre. En se cachant, elle fit tomber les fioles du Serum, ce qui lui sauva la vie. En voyant les fioles, l'ex-colonel fut happer par leur couleur bleu si pure et elle put s'enfuir. Il en observa une en la prenant entre ses doigts, fasciné et avec un sourire désabusé il se rappela le bleu des yeux de Steve Roger. Si similaire. Puis il brisa les petites amphores cachant des pouvoirs divins sous ses bottes, n'en épargnant aucune pour analyse, n'en laissant pas une goutte exploitable au risque que le gouvernement n'en récupère et en face son propre breuvage. C'est Walker qui l'arrêta dans son entreprise, en le percutant dans la nuque de son bouclier. Zemo appréciait que ses deux comparses lui évitent la prison en négociant avec Walker, arguant de son utilité - en toute bonne foi inestimable. Mais quand les Dora milaje vinrent réclamer vengeance pour le roi T'Chaka que le Baron avait tué dans son attentat aux nations unis, il profita d'une cohue générale pour disparaître et s'enfuir, car il le savait, ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne fasse face à sa juste rétribution. Et avant de mourir, il voulait honorer une promesse et demander un dernier service. Il attendit James Barnes près de la statue du mémorial des victimes de Sokovie, c'était un bel ouvrage mais tout de même modeste pour l'ampleur de la catastrophe. Il voulait fouler une dernière fois ses terres avant de partir. Quand l'ultime protagoniste de son histoire arriva, il se mit en quête de le convaincre, de lui montrer à quel point Karli était un danger pour tous et il savait que le soldat de l'hiver était fait pour tuer. Pour éliminer. Il ne pouvait qu'espérer qu'à son retour en Europe, il tourne ce savoir, cette programmation qui le caractérisait, contre Karli et ses partisans pour le bien commun. Le refus de James ne l'étonna pas, trop attaché à ce que les autres voulaient ce qu'il soit. Il plissa les lèvres et acquiesça. C'était le moment où James Buchanal Barnes allait avancer en détruisant tout ce qui restait du soldat de l'hiver et de ceux qui avait cru bon de l'utiliser pour leurs intérêts personnels. Comme lui. Et Zemo ne pouvait qu'espérer, alors que le soldat levait le canon de son arme face à lui, que cela lui permettrait en effet d'avancer, de faire un deuil factice de ce qu'il avait été un jour. Le Baron ne pouvait s'empêcher d'anticiper ce moment autant que de le redouter, c'était le cercle vicieux dans lequel ils étaient enfermés tous les deux ; celui de la mort et de la vengeance. Et Zemo avait peur que ce sommeil qu'il attendait depuis longtemps soit aussi pénible que celui que Bucky avait connu tout le long de sa vie, car rien de ce qu'il n'avait cru pouvoir solutionner n'était réglé et sa promesse restait inaccompli. Quand le doigt du brun actionna la gâchette, le cœur d'Helmut s'arrêta pour une seconde interminable. Mais aucun coup de feu ne vint le faucher et son regard hagard et dévoilé de ses apparats cherchait une réponse dans les yeux de James. Le soldat ouvrit sa main métallique pour laisser tomber les munitions de son arme déchargée au préalable. Quand Helmut avala sa salive, elle était acide, égratignant sa gorge. L'arrivée des Dora Milaje finit de le faire comprendre. Comprendre que James n'était pas ce tueur qu'il pensait. Qu'il était différent de lui, si différent et qu'il n'avait pas besoin du meurtre pour avancer. Qu'il allait avancer différemment. Ils n'étaient plus aussi similaires que Zemo en avait l'impression. Les Dora Milaje avait conclu avec James d'emmener le Baron purger sa peine sur la prison la plus sécurisée de la planète, créée pour les supersoldats à la suite de l'affaire de Sokovie, le RAFT. Quelle ironie. Zemo, droit comme un piquet, voyait son enfer commencer, la longue agonie d'un temps qui ne passe pas entre 4 murs. L'arme vidée de James le narguait. Mais il ne lui en voulait pas, car Helmut l'avait si mal jugé que cette décision semblait être la plus en adéquation avec ce qu'était réellement James Buchanan Barnes. Leurs adieux furent assez doux, navrés. Dans sa prison, Zemo avait la radio, il y était finalement un peu mieux installé qu'en Allemagne. Peut-être pour ne pas devenir fou sans la lumière du soleil ou l'air sur sa peau. Il entendait le sauvetage héroïque de James et Sam, fidèles à leurs convictions, qui protégèrent les politiques visés par les supersoldats et les civils. Mais son travail n'était pas achevé. Le présentateur annonçait que suite à un attentat à la bombe tous les partisans de Karli étaient morts alors qu'ils étaient transférés vers le RAFT. Le Baron sourit. Ses contacts étaient nombreux, mais parfois, certaines affaires devaient mieux rester dans la famille et Oznik avait parfaitement exécuté ses volontés. Ce soir là, il s'endormit avec un peu moins de mal que d'habitude. C'est le chahut qui le réveilla. Sa chambre était carmine, sous les lumières rouges alimentés par le générateur d'urgence de la prison. Sa porte était entrouverte, comme toutes celles de son étage. Son esprit vit immédiatement le portail dans lequel s'engouffraient de nombreux condamnés, dont certains membres les plus chevronnés d'Hydra. Le baron n'hésita pas longtemps et il poussa la porte de sa cellule avec un haussement de sourcil opportun avant de suivre le mouvement. Ici. Ici. Ici. Ici. S'il a des particularités... Ici. Réalité futuriste Rappel : Cette réalité est forcément une réalité alternative. Ydrus 28 ans France C'est quelqu'un qui m'a dit... / Des pancakes et la fin des super-soldats 
# Lun 29 Mai - 22:35
Je suppoooose que je suis censé te souhaiter la bienvenue  (mais mouahahaha qu'est-ce que je suis contente de te voir craquer pour ce perso enfin XD)  Chaotique neutre Image :  Profil - Pseudo : Nono Profil - Avatar : Deepika Padukone Profil - Oeuvre d'origine : Berserk Profil - Messages : 8134 Profil - Date d'arrivée : 25/06/2020 Profil - Crédits : Nono Profil - Autres comptes : Psycho Mantis, Leon S. Kennedy & Teresa Profil - Zone libre :  Apo - Âge : 34 ans Apo - Situation amoureuse : Célibataire Apo - Ancien métier : Assistante de direction Apo - Communauté : aucune Apo - Nouvelle fonction : Loup solitaire sans pitié Apo - Inventaire : -Batte de baseball cloutée -Un Berreta -Un couteau couteau de combat volé sur le cadavre d'un militaire Histo - Âge : 30 ans Histo - Situation amoureuse : Compliqué Histo - Lieu d'habitation : Everwinter Histo - Type : Humaine Histo - Métier : Mercenaire Histo - Classe sociale : Noble déchue Surnat - Âge : 32 ans Surnat - Situation amoureuse : Fiancée, mais c'est compliqué Surnat - Quartier : De Stormgrove mais en route vers Blackbrige Surnat - Type : Thérianthropes Surnat - Particularités/pouvoirs : Elle a une marque sur la poitrine depuis sa naissance, une sorte de symbole.     Surnat - Métier : Bibliothécaire Neutre mauvais Image :  Profil - Pseudo : Zreyta Profil - Avatar : Elizabeth Grullon Profil - Oeuvre d'origine : Star Wars Profil - Messages : 333 Profil - Date d'arrivée : 23/07/2020 Profil - Crédits : Zreyta Profil - Autres comptes : Astarion + Ciri + Cleo + Gwen + Hana + Hera + Jack + Lucy Gray + Marilyn + Missy + Odessa + Pearl + Sera Profil - RP en cours : . ◊ HISTO : 3 en cours ◊ Hisirdoux + Wanda + Herbert ◊ SURNAT : 2 en cours ◊ Luke ◊ S-F : 1 en cours ◊ Herbert + Raven how much can you change and get away with it, before you turn into someone else, before it's some kind of murder? Profil - Zone libre :  ◊ Un peu de musique ? Histo - Âge : 25 ans Histo - Situation amoureuse : Célibataire Histo - Lieu d'habitation : Roselake Histo - Type : Humaine Histo - Métier : Soldate dans l'Inquisition Histo - Classe sociale : Moyenne, d'origines modestes Surnat - Âge : 23 ans Surnat - Situation amoureuse : Célibataire Surnat - Quartier : Blackridge Surnat - Type : Humaine sensible à la force Surnat - Particularités/pouvoirs : Manipulation de la Force + Côté Obscur + Maîtrise du sabre laser + Pilote de TIE + Piratage Surnat - Métier : Petits boulots en toute illégalité  Chaotique mauvais Profil - Pseudo : Bloody Mary Profil - Avatar : Dichen Lachman Profil - Oeuvre d'origine : Altered Carbon Profil - Messages : 420 Profil - Date d'arrivée : 21/07/2021 Profil - Crédits : ethereal-rpg Profil - RP en cours : Surchargée [6/5] Profil - Zone libre : Pour voir mes autres comptes, c'est par ici ! Écrit en #339900 Apo - Âge : 39 ans Apo - Situation amoureuse : Nulle Apo - Ancien métier : Jeune conseillère en finance dans une banque Apo - Communauté : Warlington Square Apo - Nouvelle fonction : Professeure d'auto-défense et bras droit de Crowley, le nouveau maire. Apo - Inventaire : Plusieurs barres de fer et une batte de baseball à l'effigie d'une bombe. Histo - Âge : 35 ans Histo - Situation amoureuse : Elle est la maîtresse de Marcus Kane. ♡ Histo - Lieu d'habitation : Orkney Histo - Type : Humaine Histo - Métier : Espionne pour l'Armée Royale d'Orkney, connue sous le nom d'Armée Fantôme. Histo - Classe sociale : Moyenne, avec une fâcheuse tendance à dépenser sans compter pour Marcus. Surnat - Âge : 284 ans, mais elle en parait 35 grâce aux clonages répétés. Surnat - Situation amoureuse : Nulle, parce qu'il n'y a que son frère Takeshi qui compte à ses yeux. ♡ Surnat - Quartier : Blackridge Surnat - Type : Clone humain Surnat - Particularités/pouvoirs : Est-ce qu'on peut considérer sa force de caractère comme tel ? Surnat - Métier : Chasseuse de primes Neutre bon Image : Profil - Pseudo : Ydrus Profil - Avatar : Boyd Holbrook Profil - Oeuvre d'origine : MCU Profil - Messages : 11 Profil - Date d'arrivée : 29/05/2023 Profil - Crédits : Ydrus Profil - Autres comptes : Enji Todoroki Profil - Zone libre : City - Âge : 36 ans City - Situation amoureuse : Séparé City - Métier : Ingénieur système City - Quartier : Summerdale Surnat - Âge : 36 ans Surnat - Situation amoureuse : Marié Surnat - Type : Humain muté Surnat - Métier : Divers et varié # Mar 20 Juin - 20:21 Merci infiniment à vous tous et toutes !  J'ai hâte de jouer avec vous ! Je me permets de demander si il est possible d'avoir un nouveau délai ?  Désolé pour le temps, j'espère finir d'ici la semaine prochaine !# Mar 25 Juil - 16:43  Félicitations ! Tu as réussi ! COUPAIN ON VA BIEN S'AMUSER  trop trop bien ta fiche bébou Bravo ! Tu as rejoint la magnifique communauté de Divided Realities. Mais avant de pouvoir commencer à jouer parmi nous, voici quelques étapes que nous vous conseillons de compléter :
Amuse-toi bien parmi nous !!  Page 1 sur 1
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